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La Wild : House of the Tiger

Il y a fort longtemps, bien avant Nadine Morano, le monde était alors recouvert d’une jungle luxuriante où les seules sauvageries étaient celles commises lors de ces bals de nuit.

Les temples de musique nocturne se comptaient alors par milliers et l’on ne pouvait plus compter le nombre de poulettes, jeunes loups et cougars que l’on pouvait croiser en action dans les bas fonds. Et dans cette jungle se trouvait le véritable king of the kings : Rôki the Tiger.

Jeune mâle vigoureux et rebelle doté d’un pelage que même le plus grand des Rois mages n’avait en tout temps jamais arboré, Rôki le Tigre était vraiment le plus fort (on l’appelait Rôki qui bat le boa) et avait les qualités que toutes les petites chattes et autres vieilles tigresses à dents de sabre recherchaient. Mais il n’en avait que faire de tous ces ronronnements faciles. Lui ce qu’il voulait, c’était rugir… rugir de plaisir. GRRRAAAAOUUUUUU ! Conquérir la night et les dancefloors en lâchant des pas aussi stylés que ceux de Micheal Chatkson et être suffisamment classe pour pouvoir émerveiller sa féline tant convoitée : Chardienne. Mais pour ceci, il lui fallait l’emmener dans le temple des chaleurs ardentes où allait se passer la fight de groove la plus importante que la Terre ait jamais connue.

Où, sur un ring, lors d’un combat à plumes et à poils, allaient s’opposer Into the deep, Around The World et La Wild pour vous délivrer un flow sauvage venant tout droit des abysses discohoustechnostiques : House of the Tiger.